« L'ouverture d'une enquête sur d'éventuels actes de torture, qui auraient été commis par la brigade antiterroriste et ayant ciblé 5 ex-détenus libérés le 10 aoot dernier, sera une sorte d'un examen pour tester la volonté politique des autorités de lutter contre la torture », a indiqué l'organisation Human Rights Watch (HRW).