Le commandant Fawzi Houimli de la police tunisienne est tombé en martyr aujourd'hui devant la cour d'appel à Bizerte après qu'un extrémiste l'ait poignardé. Le meurtrier aurait clamé Allahou Akbar trois fois en perpétrant son crime, selon les déclarations du syndicat général des agents du ministère de l'Intérieur. L'accusé selon les premières investigations serait un individu extrémiste. Il aurait attendu au café voisin à la cour en attendant le chef du poste de police et l'a attaqué par surprise.