Suite au regrettable accident survenu dimanche 2 août, toute l'équipe du restaurant Mansourah tient à s'exprimer sur les faits survenus ce jour-là. Droit de réponse : Suite à l'article paru dans Tuniscope concernant le drame survenu à Kelibia le 2 août, le restaurant mis en cause tient à faire valoir son droit de réponse et à apporter sa version des faits, corroborée par les enregistrements de vidéosurveillance. Tout d'abord, nous tenons à présenter une nouvelle fois nos condoléances à la famille du défunt ainsi qu'à ses proches. Nous tenons toutefois à rétablir la vérité sur ce qui s'est passé ce jour-là. Après avoir terminé son repas, Tarek part se baigner à 13:59:35. Alors qu'il est toujours dans l'eau, il semble faire un malaise et perd conscience à 14:44:35. À l'aide d'une bouée, des baigneurs tentent de le ramener jusqu'au restaurant. À 14:45:45, le gérant du restaurant contacte le 198 (protection civile). Pendant ce temps, deux employés s'empressent de ramener les secouristes de plage qui arrivent sur les lieux à 14:46:54. Ils sont quatre et se chargent de sortir Tarek de l'eau et de le réanimer : il respire alors. L'ambulance arrive à 14:53:00 et repart à 14:59:25 avec Tarek vivant. Une dizaine de minutes plus tard, le gérant recontacte la protection civile pour prendre des nouvelles de Tarek : il est toujours vivant mais dans un état critique. Une quinzaine de minutes plus tard, on lui annonce le décès de Tarek. Allah yarhmou. Précisons également que le gérant a essayé de rassurer la fiancée de Tarek, non pas pour éviter « des problèmes », comme elle l'affirme, mais pour faciliter l'intervention des secours. C'est également pour cela qu'il a dissipé la foule qui s'était formée autour de Tarek. Enfin, nous démentons avoir réclamé une CIN ou le règlement de l'addition aux proches du défunt. Nous nous étonnons de ces accusations abjectes, puisque le restaurant a fait tout son possible pour sauver la vie de Tarek. Article lié : Première baignade, dernier rendez-vous… L'histoire d'un drame survenu à Kélibia