Le deuxième vice-président de l'Assemblée des représentants du peuple, Tarek Al-Fttiti, a déclaré aujourd'hui, jeudi 8 octobre 2020, que la loi contre les agressions des forces de sécurité fait partie de l'ordre du jour de la séance plénière et peut être abandonnée, adoptée ou renvoyée en commission. Ftiti a estimé sur Jawhara que les forces de sécurité font l'objet d'attaques alors qu'ils ont le droit à une loi qui les protège des personnes criminelles ou même violentes. Il a tout de même ajouté qu'il faut parvenir à une équation garantissant à la fois la préservation du droit à la sécurité et la protection du citoyen. Concernant les cas de corona qui ont été enregistrés au conseil, Ftiti a déclaré qu'un député, comme tout autre citoyen, peut être infecté par le virus. Le vice-président de l'ARP a indiqué que l'infection d'un certain nombre de députés et leur entrée en période de quarantaine affectaient le quorum et créaient un problème dans l'approbation d'un certain nombre de projets de loi et la continuité des travaux du Conseil.