La Cour de cassation de Tunis a reconnu, dernièrement, le droit d'auteur de Moncef Dhouib, dans l'affaire « Fi hak essardouk nraychou » qui l'oppose à Lamine Nahdi. Un long litige sépare les deux artistes depuis plusieurs années. La Cour de cassation de Tunis a reconnu, dernièrement, le droit d'auteur de Moncef Dhouib, dans l'affaire « Fi hak essardouk nraychou » qui l'oppose à Lamine Nahdi. Un long litige sépare les deux artistes depuis plusieurs années. Le tribunal de première instance a ordonné à Lamine Nahdi de verser la somme de 348.000 dinars à Moncef Douib, reconnu comme étant l'auteur et le scénariste de la pièce de théâtre. Lamine Nahdi a porté plainte, quand la version film a vu le jour, mais le tribunal a rejeté son recours puisque le scénario est la propriété de Moncef Dhouib. La somme d'argent n'a pas été versée jusqu'à ce jour à l'auteur de la pièce même si elle a été, on le sait tous, exploitée durant plusieurs années par Lamine Nahdi, d'une façon illégale. Maintenant que l'affaire est clôturée, nous attendons la réponse de Lamine. Comment va-t-il faire sans « Fi Hak Essardouk nraychou » ?