La tension est montée d'un cran, cette nuit du mardi 4 août 2015, à l'Assemblée des Représentants du Peuple, sur fond de l'affaire d'enlèvement des 7 personnes devant le tribunal de première instance de Tunis. Tout s'est enchaîné : Abdelfatteh Mourou, vice-président de l'ARP, qui refuse d'accorder la parole au député Samia Abbou et un échange de mots entre les députés Mongi Rahoui et Noureddine Bhiri. D'où la suspension de la plénière, jusqu'au retour du calme.