N'en déplaise aux complotistes, aux inféodés aux pétrodollars, aux traitres de la Nation et aux défenseurs du terrorisme, l'ancien ministre de l'intérieur Lotfi Brahem a été, est et restera un symbole vivant du souverainisme, une icône de la défense acharnée des intérêts de la Nation et un véritable rempart contre le terrorisme et l'extrémisme. La bataille de coqs menée à son encontre s'est avérée illusoire et ses détracteurs qui fredonnaient la symphonie du complot monté, déchantent en apprenant les verdicts prononcé »s par les tribunaux libres à l'encontre des terroristes de Daour Hicher . Sous la pression politicienne des Ultras de Montplaisir et le chantage au pouvoir exercé sur le locataire de la Kasbah, le capitaine Lotfi a dû quitter le navire dans des conditions ubuesques accompagné par une campagne médiatique odieuse orchestrée par ses détracteurs. Mais quand on ne s'y trompe pas. La vérité est l'arme la plus redoutable. Avec comme seule armure, son patriotisme, Lotfi Brahem a pu résister à la vendetta des extrémistes et il en ressort victorieux de son combat en sortant par la grande porte, la tête haute et faisant valoir comme acquis son travail et sa droiture. Par ces temps de grisaille, de turpitudes et de marchandage patriotique, il fut un ministre aux antipodes des carriéristes aux ordres des uns et des autres pour se maintenir à son poste. Il a juré fidélité à la République et à la Nation et il en assume les conséquences en étant comme fut avant lui Houcine Dimassi ancien ministre des finances, des défenseurs obstinés de la souveraineté et de l'indépendance tunisienne refusant catégoriquement les compromissions partisanes et la mise sous tutelle de la Tunisie libre. A l'heure de la délinquance politique, de l'imposture idéologique et de l'escroquerie intellectuelle, les anti-héros tentent vainement de faire la Loi et s'essaient avec leurs fanfaronnades, leurs gesticulations et leurs girouetteries à éclipser la droiture des vertueux et la bravoure des patriotes.