Les masques tombent, le mythe se brise et la vérité éclate au grand dam des chantres du « révolutionnisme » qui se disputaient la paternité d'un enfant pur et innocent appelé Révolution. Les tests ADN viennent d'apporter les preuves irréfutables que les prétendus géniteurs toutes tendances confondues sont stériles et n'ont pas assez de ressources et de répondants physiologiques pour enfanter et procréer. Les résultats sont accablants pour ces imposteurs qui ont fait de cette paternité une raison d'être et un fond de commerce. La révolution tant chantée et portée en triomphe pour sa spontanéité est une créature génétiquement modifiée sortie des laboratoires américains comme vient de le révéler notre consœur Sonia Baker de l'Algérie Patriotique qui vient de publier un article au vitriol qui met à nu le rôle collaborationniste de certains apprentis politiciens et activistes qui polluent nos le paysage médiatique depuis cet accouchement douloureux d'un enfant qui n'est le leur. Sonia Baker révèle que, selon un document confidentiel fuité, la révolution tunisienne appelée « la flamme du Printemps Arabe » n'est pas un mouvement spontané d'une population avide de changements politiques, mais bel et bien une machination orchestrée par les laboratoires des services américains pour donner le coup d'envoi à une opération d'envergure visant à reconfigurer le monde arabe ,à se débarrasser de ses anciens alliés et à introniser de nouvelles gouvernances. En effet, Sonia Baker confirme que l'organisation Middle East Briefing (MEB), qui se base sur un rapport officiel du département d'Etat américain, confirme l'implication de la Maison-Blanche dans les «Impostures révolutionnaires» ayant secoué les pays arabes. Le document en question, qui date du 22 octobre 2010 et intitulé «Middle East Partnership Initiative : Overview», est confidentiel et le MEB n'a réussi à le consulter que grâce à la loi Freedom of information Act. La machination orchestrée par les laboratoires américains consistait à s'appuyer sur ses relais tunisiens inféodés aux dollars des ONG généreuses comme l'OPEN Society qui a réussit à soudoyer de nombreux activistes et le MEPI (The Middle East Partnership Initiative) qui a attiré dans son giron de nombreux intellectuels et politiques qui se sont mis à rêver d'une grande part du gâteau. Le géniteur anonyme est enfin démasqué et le scénario de la révolution tunisienne ressemble à s y méprendre à l'émission Andi Mankolok qui défraye la chronique avec son lot de voyeurisme, de misérabilisme, de populisme et ses invités qui se disputent la pension alimentaire et la paternité d'un enfant illégitime.