Si le seuil de pauvreté (de deux dollars par jour) n'est pas ajusté à l'inflation (non négligeable entre 2000 et 2005), toute conclusion d'une réduction de taux de pauvreté est hâtive. Disons que les statistiques étaient bonnes (questionable assumption), en 2000, les pauvres représentaient 4,2%, la classe moyenne 77,6% et les riches 18,2% ; en 2005, les premiers représentaient 3,8%, les seconds 81,1% et les riches 15.1%. Conclusion : la classe des riches tunisiens a connu un rétrécissement entre 2000 et 2005. Ah les stats!! K.M Réaction à l'article : Enquête sur les dépenses et consommation des ménages : les conclusions Contact : [email protected]