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Politique pharmaceutique : du Philanthrocapitalisme vaccinal à la vassalisation des Etats
Publié dans Business News le 10 - 07 - 2023

*Pharmacien Clinicien, Pharmacoéconomiste et Chercheur en droit de la gouvernance

Lors d'une rencontre scientifique récente, j'ai été surpris par le commentaire d'un ancien doyen de la faculté de pharmacie de Monastir, qui disait : « ce n'est pas le moment de philosopher ». Peut-être par fidélité à sa formation en sciences biologiques, il ne savait possiblement pas, que le mot « philosopher » signifie « penser, réfléchir ou raisonner ». La question est : « A quoi sert un doyen d'une faculté, s'il ne réfléchit pas aux problèmes de sa société. Lui, le sachant, qui est au sommet de la pyramide du savoir et de la préparation stratégique des nouvelles générations. Lui qui fait partie de l'élite qui a le droit de dire et de faire, telle que présentée par le sociologue Michel Maffesoli. Cette élite qui normalement donne le cap de la gestion de la chose publique et éclaire les politiques sur les orientations stratégiques, surtout en temps de crise.Le politique, pour sa part, a l'obligation de s'informer et de comprendre pour pouvoir décider dans l'intérêt de la nation. En matière de santé, la décision qu'il prend non seulement peut impacter positivement ou négativement la santé de chaque citoyen ou malade. Elle peut changer les indicateurs de santé publique. Elle peut aussi, engager le pays au plan financier et économique pour créer des opportunités et des richesses ou au contraire pour générer un gouffre financier et un surcoût socio-économique. Faut-il plaindre les politiques de devoir compter sur des doyens qui ne « philosophent » pas ou qui ne « réfléchissent » pas ? Quel serait alors, l'apport de ces derniers et quelle serait leur utilité sociale ? Sont-ils plus heureux de briller par leur absence et leur passivité ?Pythéas (350-285 av. J-C.) était un citoyen de la cité grecque occidentale de Massila (l'actuelle Marseille). Il a entrepris, vers 330 avant J.-C, un voyage dans les terres du nord loin de sa méditerranée natale. Ces terres du nord (Finlande, Norvège et la Suède) n'existaient pas dans l'esprit collectif des méditerranéens car ils ne les avaient jamais vues. Tout comme, ils n'avaient jamais vu des mers de glace. Ces terres relevaient donc des mythes et des légendes. A son retour de ce périple dans les terres du Nord et le cercle polaire arctique, Pythéas racontait que des mers de glace l'ont empêché de poursuivre son périple dans ces terres où il y avait le soleil à minuit. Ces phénomènes inconnus par les Grecs, ont fait douter ces derniers de la véracité des faits rapportés par Pythéas. Il a fallu tout de même, dix-huit siècles plus tard, pour que l'on se rende compte de la véracité de ses dires.L'histoire de Pythéas, est un exemple parmi tant d'autres vérités qui ont été réfutées et rejetées par la société car elles dépassaient le savoir collectif communément admis. Ce rejet des vérités n'est pas spécifique au passé. Il colle à l'histoire de l'humanité et aux différences de l'accumulation du savoir entre une minorité et une majorité et des intérêts en jeu entre eux. Ceux avoués et ceux inavoués. Ces rejets de vérités sont inhérents à l'être social. Ils continueront au gré des enjeux et des visions de la caste dominante.

La survenue de la pandémie de Covid était l'occasion de tels rejets de plusieurs prémisses de vérité où l'on a traité de « complotistes » tous ceux qui prônaient une version différente de celle de la doxa.Les vérités deviennent alors des dogmes et des croyances religieux. Elles prennent alors, une apparence scientifique pour se conformer à l'ère du temps et du progrès. D'ailleurs, l'écrivain anglais Gilbert Keith Chesterton (1874-1936) avait évoqué ce phénomène dans Chesterton's Heretics (1905) en disant : « … des feux seront embrasés pour attester que deux et deux font quatre. Des épées seront tirées pour prouver que les feuilles sont vertes en été ».Dans ce contexte, peut-on réfléchir quant à la vérité de certaines philanthropies (dont la valeur dépasse 3500 milliards de dollars) et à certains philanthrocapitalistes ? Peut-on questionner leur véritable utilité sociale et leur fonction plutôt globaliste que globale ? Peut-on s'interroger sur la portée de leurs plans et de leurs actions sur le devenir de notre souveraineté, de nos vies, de nos identités nationales, nos identités religieuses, nos identités du genre, et même nos identités familiales ? Que savons-nous sur leurs plans, sur leurs laboratoires d'agents pathogènes BSL-3[2] et BSL-4[3] et sur les produits qu'ils y fabriquent et qu'ils nous injectent ? Nous en savons peu ou rien. Cependant, nous constatons que plusieurs des tendances sociales soutenues par le nouvel ordre mondial sont à contre nature (homosexualité), amorales (libertinages et luxures) et abjectes (pédocriminalité comme les fabriques à enfants à des fins de sexualité et de transplantation d'organes dont la valeur de ce marché dépasse 150 milliards de dollars).L'histoire de la philanthropie durant ce siècle, montre que le capital (philanthropie et industries y compris celles du sucre, du tabac, de l'alcool, celles agro-alimentaires et pharmaceutiques) n'a pas cessé de planifier, de placer ses alliés dans les postes clés. En même temps, le capital opérait des rapprochements et des alignements législatifs internationaux, régionaux, bilatéraux, et bureaucratiques, tout en captant les politiques et les académiques à travers le lobbying et le marketing pour que la capture/captation soit totale. L'objectif du capital est double. D'une part, rendre docile ou la moins hostile, la réglementation. Et d'autre part, créer les conditions pour générer le consommateur parfait qui serait sans racines ni identité, qui consomme et accepte en totale soumission sa condition d'esclave des temps futurs.
En revanche, les Etats censés réglementer et contrôler le capital ont été anesthésiés et complices par leur statisme et leur laisser-faire. Ils ont favorisé le développement du concept de partenariat public privé, devenant ainsi partenaires et associés de ceux qu'ils sont censés brider. Ils n'ont comme plans que ceux qui ont été élaborés par le capital. C'est de cette manière que les industries du sucre, du tabac et de l'alcool continuent à connaître des jours heureux. En général, c'est aussi le cas de l'industrie agro-alimentaire (glyphosate) et celle pharmaceutique.Cette dernière arrive à vendre aux Etats pour leurs citoyens malades, un grand nombre de médicaments dont l'efficacité est douteuse. Loin de moi est l'idée d'être un négationniste du progrès médical. La vérité, c'est qu'il y a un grand nombre de médicaments utiles d'un point de vue thérapeutique et un nombre aussi important sinon supérieur de médicaments qui n'apportent aucune amélioration thérapeutique et qui génèrent des coûts économiques et sanitaires pour la collectivité et des bénéfices commerciaux pour leurs fabricants.Cette part de factualité scientifique crée un paradoxe inédit : d'une part peu de médicaments sont efficaces et peu de médicaments sont découverts, et d'autre part une rentabilité financière continue sur plus de 70 ans. Comment est-ce possible ? Est-ce rationnel ? la réponse est non.Une disproportionnalité est ainsi créée entre les chiffres d'affaires des très grandes entreprises pharmaceutiques et les PIB des Etats. Une telle situation est née de la théorie du progrès qui a généré les brevets et les droits de propriété intellectuelle au XIXème siècle et dont l'obsolescence est court naturel au progrès. Dans le sens que ces droits, qui découlent des brevets ne durent que 20 ans au bout desquels, ils seront automatiquement remplacés par de nouveaux brevets de médicaments plus efficaces avec moins d'effets indésirables. Or, ce concept ne s'applique pas à la chimie pharmaceutique dont les molécules sont éternelles et dont l'usage est infini et illimité[4]. Ce qui n'arrange pas les perspectives de rentabilité financière de l'industrie pharmaceutique en tant qu'opérateur économique même si elle arrive à prolonger artificiellement cette période de protection de 20 ans et la porter à 48 ans (evergreening) par différents stratagèmes et techniques de rédaction des brevets.En effet, la rentabilité des médicaments bien qu'elle soit supérieure à 10%, elle est menacée par une baisse considérable de l'innovation au point de constituer une véritable crise.
Ce maintien artificiel de rentabilité à deux chiffres, paradoxal par rapport à l'innovation, est réalisé principalement grâce aux efforts de marketing. D'où l'approche en deux points :1) tuer les anciennes molécules (aspirine, hydroxychloroquine, ivermectine…) soit en achetant la totalité des stocks de matières premières et produits finis, soit en achetant les seules usines qui assurent la fabrication mondiale de ces produits, ou en les détruisant (le bombardement de l'unité Al Shifa au Soudan le 7/08/1998 par les Etats-Unis qui ont fini d'indemniser les propriétaires en toute discrétion ou le cas de l'explosion de l'usine d'hydroxychloroquine en septembre 2020 à Taiwan) ;2) lancer les traitements préventifs et prédictifs comme les vaccins parce qu'ils ciblent une population bien plus grande (la population mondiale), et bien plus saine. On retrouve cette idée dans les écrits de Jules Romains qui en 1924, présenta pour la première fois sa pièce de théâtre « (Dr) Knock ou le Triomphe de la Médecine » dans laquelle, il mentionnait de manière prémonitoire que « tout bien portant est un malade qui s'ignore". Il a fallu à peine un siècle pour que cette prophétie devienne réalité.Après avoir créé la niche des produits conseil (OTC, Over The Counter) ne nécessitant pas une ordonnance médicale et après avoir créé la niche des produits orphelins destinés à traiter des maladies rares dites « orphelines » à des prix abusivement onéreux, l'idée maîtresse de l'industrie pharmaceutique, à présent, est de cibler les personnes bien portantes (non malades). D'où l'intérêt manifesté pour le développement des vaccins.Cependant, cette stratégie de miser sur les vaccins cible la population mondiale (saine et malade) expose l'industrie pharmaceutique à des poursuites légales sur plusieurs systèmes judiciaires pouvant coûter très cher en coûts de procès et en indemnisation des victimes de la vaccination, voire mener certains laboratoires pharmaceutiques à la banqueroute. La concrétisation d'une telle stratégie repose sur l'immunité judiciaire que l'industrie pharmaceutique pourrait avoir de l'ensemble des gouvernements et qui la protégerait de toute redevabilité sociale, financière et pénale.La construction des bases de cette immunité contre toute poursuite judiciaire pour indemniser les victimes des effets indésirables des vaccins a commencé en 1986 avec la promulgation du « National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) par le Président Ronald Reagan.

En mars 2020, une autre loi américaine renforce cette immunité durant la pandémie de la covid-19. Il s'agit du « Public Readiness and Emergency Preparedness Act ». En Union Européenne, la directive européenne 85/374/CEE de 1985, relative aux produits défectueux (transposée en France en 1998 et est régie depuis 2016 par les articles 1245 à 1245-17 du code civil), est plus générale. Elle a limité la période de redevabilité du fabricant d'un médicament ayant généré des effets indésirables à 10 ans après sa mise sur le marché. Au-delà de cette période, le fabricant ne peut plus être poursuivi. Pour la mise en place de cette stratégie de vente des vaccins, il était primordial de faire prévaloir la lutte contre les microbes indépendamment des choix gouvernementaux des pays en développement (PED) ou de leurs peuples. Elle a été réalisée sous le slogan : « la guerre contre la terreur ». Il s'agit d'un concept ouvert, ambigu justifiant un large éventail d'actions.Cette idée bien qu'elle soit d'une imbécilité sans précédent a fait son chemin durant les 50 dernières années grâce à une planification complexe et continue. Pourquoi taxer cette idée « d'imbécilité sans précédent » ? Tout simplement parce que cela suppose, in fine, devoir vacciner tous les êtres humains et tous les animaux vivants sur terre pour éviter les zoonoses et tous les agents pathogènes y compris ceux du permafrost. Ce qui est véritablement une mission impossible. Une question nous interpelle aussitôt : « pouvons-nous vivre sans microbiote et sans microbes ? ». La réponse est : non. Cette idée « imbécile et stupide », d'apparence, cache une stratégie commerciale redoutable et un montage technique digne des systèmes complexes les plus innovants à travers la philanthropie[5] qui peut cacher les coût et préjudices dissimulés des entreprises tout en s'offrant une autorité charismatique et une immunité perpétuelle. Une sorte de vampires séducteurs. L'exemple qui suit est assez éloquent.Par l'Accord entre le Conseil fédéral suisse et GAVI Alliance (Global Alliance for Vaccines and Immunization) en vue de déterminer le statut juridique de GAVI Alliance en Suisse, le Conseil suisse reconnaît une liberté de réunion absolue, comportant la liberté de discussion, de décision et de publication, sur le territoire suisse (art. 2). Il lui reconnait aussi une inviolabilité des locaux (Art. 3) et des archives (art. 4), une exonération des impôts directs fédéraux, cantonaux et communaux et une libre disposition de tous les fonds (Art.9). En revanche, les personnes physiques ne bénéficient d'aucune immunité et peuvent facilement être poursuivies pour financement du terrorisme et blanchiment d'argent. Les Etats (personnes morales suprèmes), pour leur part, peuvent être placés sur la liste grise ou noire des pays servant de plateforme pour le blanchiment d'argent. La Tunisie, en a fait les frais dans un passé proche.Par ailleurs, la promotion de la vaccination par la philanthropie n'est pas un phénomène nouveau, puisque la Fondation Rockfeller (RF) avait déjà promu les vaccins contre l'ankylostome et la fièvre jaune[6].
Durant les 25 ans passés, la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) a rejoint l'action de la RF.Aussitôt, une question relative la philanthropie nous interpelle d'emblée : « comment est-ce possible pour des hommes d'affaires aussi voraces qui ont été jugés à plusieurs reprises par la justice américaine pour abus de position dominante, en vertu des lois anti-Trust (Standard Oil, Microsoft), peuvent-ils œuvrer pour le bien-être d'autrui et de l'humanité ? ». Cette antinomie démontre qu'en réalité, les philanthropes ne défendent que leur propre intérêt et non celui d'autrui.Pour les ultra-riches, l'idée de la mort est en totale contradiction avec la richesse qu'ils amassent et le pouvoir dont ils jouissent. Elle limite aussi leur déification, leur puissance et les rattache à limite humaine de l'âge quelque soit leurs folies allant des pratiques sectaires aux différentes addictions et comportements pervers (affaires Epstein).Pour cette catégorie, la philanthropie n'est qu'un investissement qui leur permet d'exercer leurs influences qu'ils leur plaisent d'appeler « diplomatie privée ». Malgré le fait qu'ils ne soient pas élus et qu'ils ne représentent que leurs propres personnes et intérêts, ils ont comme vis-à-vis des Chefs d'Etats et de gouvernements qui négocient avec ces philanthropes en position d'infériorité et qui finissent par accepter et exécuter leurs agendas dont celui du Global Great Reset tel que promu par le Forum Economique Mondial et son gourou.Ces deux fondations, dont la réalisation majeure en santé est la création du cartel pharmaceutique en particulier pour la Rockfeller Fondation, ont décrété le choix des vaccins comme arme globale contre les maladies. Ces fondations montrent, tout de même, des problèmes de gouvernance, puisqu'elles reçoivent des fonds publics du contribuable, manquent de transparence et de redevabilité décisionnelle. Leurs plans de dépenses sont déconnectés des besoins réels en santé (eau potable, alimentation saine, assainissement…) et en recherche biomédicale. Elles présentent une défaillance majeure de coopération et de démocratie décisionnelle.La sociologue Linsey McGoey dans son livre (No such thing as a free gift, The Gates Foundation and the Price of Philanthropy, 2015) soulève trois préoccupations principales à l'encontre du philanthrocapitalisme. « La première se concentre sur la responsabilité et la transparence des acteurs philanthropiques privés - ou leur absence. Prenons l'exemple de la Fondation Gates. Elle fournit 10 % du budget global de l'OMS. En 2013, elle est devenue le plus grand donateur de l'OMS, avec un montant supérieur à celui du gouvernement américain. Selon sa charte, l'OMS est censée rendre des comptes aux gouvernements membres. La Fondation Gates, quant à elle, n'a de comptes à rendre à personne d'autre qu'à ses trois administrateurs : Bill, Melinda et Warren Buffett, PDG de Berkshire Hathaway. De nombreuses organisations de la société civile craignent que l'indépendance de l'OMS ne soit compromise lorsqu'une part de son budget provient d'une organisation philanthropique privée qui a le pouvoir de stipuler exactement où et comment l'institution onusienne dépense son argent.La deuxième préoccupation est que la philanthropie, en canalisant des fonds privés envers les services publics, érode le soutien aux dépenses gouvernementales de la santé et l'éducation. Des observateurs au franc-parler comme Michael Edwards, un ancien cadre de la Fondation Ford, rappellent que la philanthropie privée ne remplace pas les batailles acharnées sur les lois du travail et les politiques de sécurité sociale en partie, parce que la philanthropie peut être rétractée sur un coup de tête, alors que les élus, du moins en théorie, ont des citoyens à qui répondre. La tension entre philanthropie privée et dépenses publiques est devenue évidente au niveau des récentes batailles sur l'éducation publique aux Etats-Unis…La troisième grande préoccupation est que de nombreux philanthropes, tant aujourd'hui qu'à l'étranger, par le passé, ont fait fortune grâce à des stratégies commerciales qui exacerbent les mêmes inégalités sociales et économiques que les philanthropes prétendent remédier. Les grands industriels de la fin du XIXe et du début XXe siècle ont été surnommés les « barons voleurs[7] » en raison de la généralisation de la condamnation de leurs tactiques commerciales prédatrices. Aujourd'hui, certains des philanthropes les plus célèbres au monde, de Gates à George Soros, ont gagné des milliards grâce à des tactiques commerciales qui ont aggravé l'instabilité de la situation financière, l'érosion des protections du travail et l'enracinement des inégalités dans l'économie mondiale.Dans le cas de Gates, les pratiques commerciales de Microsoft ont été jugées illégales dans un certain nombre de poursuites judiciaires antitrust aux Etats-Unis et en Europe. La fortune de Gates qui en a résulté, dont la majorité est maintenant distribuée par la Fondation Bill et Melinda Gates, a été accumulée est dans une certaine mesure mal acquise ».
Une situation qui vacille entre la rédemption et le blanchiment d'argent.Il faut avouer que la force des philanthrocapitalistes est d'avoir travaillé sans relâche pour réaliser leur objectif hubristique (arrogant) d'éradiquer les maladies par la vaccination universelle, en affichant un humanitarisme de façade et en réimaginant l'usage de notre système immunitaire dans la lutte contre les maladies infectieuses. Mais, surtout, en vendant le concept de « guerre contre les microbes » à travers l'influence que ces fondations se paient auprès des organisations internationales tout en échappant à l'attention publique et en opérant hors de portée des radars de la redevabilité sociale, vu leur humanisme de façade.La Déclaration d'Alma-Ata de 1978 au Kazakhstan a consacré le principe de « Santé pour tous » comme droit humain fondamental. Ses objectifs pour l'année 2000 étaient : l'éducation, l'alimentation saine et adéquate, l'accès à l'eau potable, l'assainissement, la santé de la mère et de l'enfant (planning familial), prévention et contrôle local des maladies émergentes et la vaccination contre les maladies infectieuses majeures. Donc, la vaccination était un outil parmi sept. Pourquoi a-t-on accordé toute cette importance à la vaccination et a-t-on négligé les six autres outils ? Etait-ce en relation avec le potentiel de rentabilité à dégager de chaque outil que le choix de la vaccination était arbitré ?Une idée simple avec un bon plan peut devenir une arme redoutable.
Tout comme, un mot d'apparence inoffensive peut avoir des conséquences terribles tel que le terme de « vaccination universelle » qui a privilégié la vaccination au détriment de toutes les autres priorités (accès à l'eau potable, une alimentation équilibrée, un assainissement et une éducation…) et la hisser au statut d'arme de choix de la santé mondiale voire en un « engagement moral » telle que décrite par Jonas Salk l'inventeur du vaccin contre la polio. Il s'agit, d'un choix politique qui correspondait, en réalité, au désir de la Rockefeller Fondation. Les orientations politiques des années 1980-1990 étaient influencées par les positions du Général Robert McNamara converti en politique. Après sa mission durant la seconde guerre mondiale, il a dirigé la Banque Mondiale. Il était convaincu que la croissance démographique était la deuxième menace mondiale après les armes nucléaires.Jonas Salk et Robert McNamara ont convaincu l'Unicef que le programme élargi de vaccination que Rafe Henderson dirigeait pour le compte de l'OMS devait être accéléré. Le Dr Kenneth Warren directeur des sciences de la santé à la Fondation Rockefeller (RF) raconte comment, en 1984, la RF a aidé à organiser un consortium d'agences, dont la Banque mondiale et le PNUD, afin de promouvoir cet objectif, et comment en l'espace de six ans, 80 % de la population a été vaccinée.La « vaccination universelle » serait-elle le stratagème qui a servi de cheval de Troie, pour permettre à ces deux fondations et leurs ayants intérêt (le capital) d'investir la sphère des institutions mondiales respectées (OMS, UNICEF, PNUD) ? Serait-elle le moyen qui leur permettra de promouvoir leurs agendas de changer le cours de l'histoire, à travers les programmes médicamenteux que ces fondations finançaient en partenariat avec l'industrie pharmaceutique, et de réaliser leurs deux objectifs principaux :1) renverser le sort de l'industrie pharmaceutique qui vit un déclin d'innovation menaçant son attractivité financière à moyen et à long terme, en inversant la stagnation du marché des vaccins, et2) faire croire aux Etat qu'ils réalisent l'objectif international de taux de couverture vaccinale de 90%.
L'ensemble des rapports de l'OMS et de l'Unicef dont le fameux rapport 1984 de l'Unicef mentionnait que le retard accusé par les pays en développement (PED) par rapport aux pays industrialisés était dû à la réduction de la mortalité infantile grâce à « l'élévation du niveau de vie : l'amélioration de l'alimentation, de l'eau, du logement, de l'assainissement, de l'éducation et des revenus ». L'amélioration des soins de santé maternelle et infantile a indubitablement joué un rôle important, plus que les technologies de la santé et les services médicaux qui n'ont joué qu'un rôle secondaire. Ce même rapport, indique que des vaccins efficaces contre la rougeole n'ont été disponibles qu'"après que les décès d'enfants dus à la rougeole ont été ramenés à presque zéro grâce à une meilleure nutrition". Cette perception se confirme quand le Dr Grant, directeur de l'Unicef de l'époque explique que "toutes les infections sont des revers nutritionnels ». Ce constat se valide dans le cas des escarres et de la Covid-19 où l'on note une corrélation entre la maladie et la déplétion nutritionnelle (escarres) ou le déficit en vitamine D, en zinc et en glutathion (Covid-19).La stratégie de la « vaccination universelle » constitue une mutation du marché des vaccins qui passent d'un élément de programmes provisoires à une priorité stratégique grevant les maigres budgets de santé.Tout cela devait être fait au détriment de l'amélioration des conditions socioéconomiques avec une stratégie médiatique plus cohérente. La promotion de la vaccination avait commencé sous le slogan « Décennie du vaccin ».En 1990, 80% des enfants du monde étaient vaccinés. Le marché mondial des vaccins était relancé pour en faire un bien public universel. La demande en vaccins du Programme Elargi de Vaccination (PEV) fournis par l'OMS et l'UNICEF à 88 pays en développement est passée de 125 millions de doses en 1982 à plus de 1 milliard de doses en 1992.
Un plan d'action global a été mis en place en 2010 sous le nom de Plan d'Action Mondiale pour les Vaccins 2011-2020 dont les signataires étaient Dr Seth Berkley (GAVI Alliance Mondiale pour les Vaccins et l'Immunisation), Dr Christopher Elias (Fondation Bill et Melinda Gates), M. Anthony Lake (UNICEF), Dr Margaret Chan (OMS), Dr Anthony Fauci (Institut national des allergies et des maladies infectieuses, américain) et Mme Joy Phumaphi (Alliance des leaders africains contre le paludisme).La première tâche de GAVI était de renforcer la surveillance de la couverture vaccinale (2011). La tâche sera assurée par BMGF en finançant un système d'identification des empreintes digitales pour suivre les enfants vaccinés en Afrique. GAVI, RF et Microsoft ont formé l'alliance ID2020 en 2016 pour promouvoir le besoin mondial d'une identité numérique sécurisée. La Covid-19 a offert une opportunité en or pour réaliser cet objectif de surveillance. Aussitôt récupérée par l'Institut Ada Lavelace, qui qualifie les passeports vaccinaux et les applications de statut Covid de "systèmes de partage vérifiable de données de santé privées pertinentes pour le Covid-19, qui pourraient être utilisés pour rationaliser la société et imposer des restrictions de verrouillage différentielles".Cette promotion de la vaccination comporte des incitations financières pour encourager les médecins à augmenter les taux de couverture vaccinale pour trois vaccins infantiles et la grippe saisonnière pour quatre groupes à risque. Des incitations aux administrations hospitalières ont été mises en place en Grande Bretagne par le NHS afin d'augmenter la couverture vaccinale chez le personnel médicale de première ligne. Aux Etats-Unis les fabricants de vaccins ont payé les agences gouvernementales, alors que le gouvernement a payé les professionnels de santé afin de maximiser le taux de couverture vaccinale contre la Covid-19 malgré le manque de recul scientifique et les limites de l'évidence scientifique en matière de sécurité vaccinale qui n'est pas habituellement faite pour les vaccins, expliquant la nécessité pour l'industrie de bénéficier d'une immunité judiciaire.Un vaccin est considéré comme sûr s'il passe la phase 1 des essais cliniques sans mort animale "imprévue" ou décès prématuré de sujets humains, et comme efficace s'il passe la phase 2 des essais cliniques.Les systèmes d'information sur la vaccination (IIS), sont des instruments de pharmacovigilance. Il s'agit de registres nationaux mis en place pour enregistrer la personne, le prescripteur, le produit (vaccin) et la date de vaccination. En 2016, le Centre Européen de Contrôle des Maladies (ECDC) a testé l'interopérabilité de ce système. Deux ans après, dans sa Communication COM(2018) 245 final du 26/04/2018, le terme vaccination était cité 89 fois alors que celui de la sécurité n'était cité que 11 fois. Soit une proportionnalité huit fois supérieure, en faveur de la vaccination que pour la sécurité des vaccins. Ce qui traduit une politique sanitaire orientée principalement vers la vaccination élargie, l'amélioration du taux de couverture vaccinale et l'aspect commercial en tant que choix de politique publique au détriment de la sécurité vaccinale.
Ce système présente plusieurs biais. Le bémol inaugural est que la surveillance de la sécurité des vaccins, c'est-à-dire leur pharmacovigilance relève du ressort des organismes de réglementation qui délivrent les autorisations, et non des autorités de santé publique qui surveillent la couverture vaccinale. Sur les 27 pays qui constituent l'Union Européenne, seuls sept pays utilisent ce système. La Suède reste le seul pays qui signale automatiquement à l'autorité de régulation disposant du pouvoir légal de retirer des produits dangereux de l'utilisation par le public.La "révolution de la survie de l'enfant" initiée par l'agence des Nations Unies UNICEF en 1982 avec six vaccins a été portée à 11 vaccins, lors de la première réunion du conseil d'administration de GAVI en 1999, qui sont systématiquement recommandés dans le calendrier national de vaccination des Etats-Unis. GAVI a immédiatement identifié une lacune en matière de vaccins que les pays en développement devaient combler, et son ambition était d'harmoniser les calendriers de vaccination du monde entier sur ceux des Etats-Unis (la référence). Mais GAVI, a oublié que nombreux pays en développement dont la Tunisie, présentent une espérance de vie à la naissance supérieure à celle des Etats-Unis et que la gouvernance rationnelle du budget de la santé pourrait être exploitée ailleurs pour permettre une amélioration plus rapide de certains indicateurs de santé. D'autres actions beaucoup moins couteuses peuvent améliorer l'incidence et la prévalence de certaines maladies métaboliques (diabète type 2) comme la réduction des apports quotidiens de fructose et de sel.Les règles du jeu changent constamment. Mis à jour en 2013, le calendrier de vaccination américain comprenait un total de 52 injections de 17 vaccins différents au cours de la vie d'une personne en dépit d'une part, du déni par l'industrie pharmaceutique et les autorités de régulation des produits pharmaceutiques de la corrélation entre l'augmentation de la couverture vaccinale et le risque d'autisme, et d'autre part de la frustration des victimes de la vaccination et leurs familles.L'actuel calendrier vaccinal du Royaume-Uni est légèrement plus prudent, en matière de nombre total de vaccins recommandés et en nombre de doses. Il ne recommande que trois vaccins pour les adultes : la grippe, le pneumocoque et le zona. Ces trois vaccins ne sont recommandés par Public Health England que pour les personnes âgées de plus de 65 ans, ou de 70 ans dans le cas du vaccin contre le zona. Malgré la décision controversée de faire vacciner le personnel du NHS avec le vaccin Covid-19 - aujourd'hui retiré - le vaccin ne figure pas dans le calendrier.Dans ce contexte, il faut souligner que le recours à la vaccination contre le pneumocoque chez les personnes âgées et présentant une fragilité pulmonaire a prouvé son efficacité en particulier, en cas de souches bactériennes multirésistantes aux antibiotiques.L'ajout de vaccins aux calendriers de vaccination des pays est censé être la fonction des groupes consultatifs d'experts. Il peut également être influencé par le lobbying, financé par l'industrie, afin de créer la perception d'une demande publique pour un accès accru à certains vaccins.
En effet, de nombreux conseillers médicaux et scientifiques de haut niveau des gouvernements ont des liens étroits avec les entreprises pharmaceutiques ou des intérêts dans celles-ci, et les recoupements sont multiples. A titre d'exemple, l'agence internationale de relations publiques Hill and Knowlton, financée par Pfizer, a été chargée de préparer le rapport de 2014 de la SAATI (Supporting Active Aging Through Immunisation - Soutien au vieillissement actif par la vaccination).L'appétit a grandi et l'approche vaccinale, cible désormais les personnes (les nourrissons, les enfants, les adolescents, les adultes, les personnes âgées, les professionnels de santé, les immunodéprimés, les femmes enceintes et les voyageurs) et les pays à travers les notions d'épidémies et de pandémies avec une portée « globaliste ».La stratégie est de permettre à la Banque mondiale d'émettre des obligations pour financer les épidémies et pandémies. Le Global Preparedness Monitoring Broad (GPMB) publiait son rapport annuel sur l'état de préparation mondiale aux situations d'urgence sanitaire au mois de septembre 2019, soit plus de 4 mois avant la survenue de la pandémie de la Covid-19 où l'intitulé de la page 27 n'était autre que « Se préparer au pire: la propagation rapide d'une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel ».
Une coïncidence fort troublante ou une prédiction scientiste-pardon -scientifique qui devine avec exactitude l'agent pathogène dont seul le nom manquait !Derrière cette obligation que l'ensemble des pays a de bâtir des systèmes économiques et sanitaires solides, il y a des opportunités d'affaires inédites et de potentiels marchés créés sur mesure, en particulier pour les fabricants de vaccins et l'industrie pharmaceutique « innovante ».Cette situation a inverti les rapports entre ces très grandes entreprises pharmaceutiques et les Etats qui se trouvent en situation d'abus de dépendance et d'abus de faiblesse par rapport à Big Pharma. Ce qui a poussé le CEO de Pfizer, Albert Bourla à déclarer : « je crois que l'affaire Covid a créé une nouvelle normalité ». En effet, elle a défoncé la porte de la sécurité des vaccins et a conféré à leurs fabricants une immunité judiciaire dont la portée altère les fondements et les concepts de justice et d'égalité devant la loi, comme fondements démocratiques.Le leadership promu par le Forum Economique Mondial et les institutions et organisations mondiales, comme moteur du progrès a transformé la Chine et Israël en laboratoires leaders du monde pour les préparer à accueillir la gouvernance du Nouvel Ordre Mondial selon les perspectives des globalistes. Or, ces modèles sont-ils transposables par tout ? La réponse est encore une fois, non.Tous ces aspects nourrissent encore plus la méfiance à l'égard des philanthrocapitalistes. Une méfiance qui trouve ses racines dans les convictions douteuses de John Rockefeller relatives à la meilleure approche pour combattre la pauvreté résumée en : « moins de réglementation et plus de philanthropie ». Donc, moins de redevabilité, moins de réglementation et moins d'Etat ! Faut-il rappeler que 47 des vainqueurs du Prix Nobel ont reçu des financements importants de la part de Rockfeller avant d'avoir leurs Nobels. Si le philanthrocapitalisme finance une part importante des sciences qui façonnent notre vie et qu'il influence comme bon lui semble et finance notre santé selon sa vision, il s'en suit forcément une perte de souveraineté des Etats et de leur capacité de financer et de créer un avenir pour leurs citoyens. Qui finance, gouverne !


Chronologie du Philanthrocapitalisme Vaccinal

[1] Dans leur livre (Philanthrocapitalism: How the Rich Can Save the World), Bishop et Green définissent le philanthrocapitalisme de deux manières. La première est une définition microéconomique. Elle consiste en une nouvelle façon de faire de la philanthropie, qui s'inspire de la façon dont les affaires sont menées dans le monde capitaliste à but lucratif. La seconde est macroéconomique. Elle décrit la manière dont le capitalisme lui-même peut être naturellement philanthropique, en stimulant l'innovation d'une manière qui tend à profiter à tous, plus tôt que prévu, grâce à de nouveaux produits, une meilleure qualité et des prix plus bas.
[2] BSL-3 : Biosafety Level 3. Ce sont des laboratoires dédiés à concevoir et conduire des projets et des activités menés, par ordre croissant de confinement, en fonction du degré de risque sanitaire associé au travail effectué. Aux Etats-Unis, les désignations BSL-1, BSL-2, BSL-3 et BSL-4 décrivent les pratiques de travail sûres minimales, les bâtiments spécialement conçus et l'équipement de sécurité requis pour travailler sur des micro-organismes infectieux et d'autres risques biologiques. (https://www.phe.gov/s3/BioriskManagement/biocontainment/Pages/BSL-Requirements.aspx)
[3] BSL-4 : Biosafety Level 4. Le niveau BSL-4 est le niveau de biosécurité le plus élevé.
[4] L'hydroxychloroquine outre ses vertus antiparasitaires et anti-inflammatoires, on lui a découverte des propriétés anti-infectieuses et antidiabétiques.
[5] La philanthropie signifie le désintéressement, la charité. Elle reflète un sentiment qui pousse les hommes à venir en aide aux autres.
[6] Rockfeller a financé les travaux de recherche sur la fièvre jaune après avoir perdu son petit-fils de 3 ans. Le vaccin contre la fièvre jaune est le seul vaccin à ce jour ayant eu le Prix Nobel en 1951 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18039952/). La Rockfeller Fondation a cessé de le distribuer en raison de son inefficacité (The Yellow Fever vaccine: a history - PubMed (nih.gov))
[7] Le Senateur, Robert La Follette a dénoncé Rockfeller comme étant le « plus grand criminel de leur époque ». (Susan Lederer, Subjected to Science: Human Experimentation in America Before the SecondWorld War (Baltimore: Johns Hopkins University Press, 1995), 84.)


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