L'Union régionale du travail de Nabeul a publié un communiqué, le dimanche 28 juillet, suite à l'assassinat de Mohamed Brahmi pour 1- Condamner Les crimes politiques, le terrorisme et l'existence de milices à la solde du parti au pouvoir 2- Accuser le gouvernement actuel pour l'implication de certains de ses membres en relation avec des milices exerçant des violences politiques dont a été victime Mohamed Belmufti à Gafsa. Ainsi que des harcèlements policiers que subissent les activistes dans les régions. 3- Condamner les actes de violence perpétrés, le 27 juillet 2013 devant le siège de l'Assemblée nationale constituante, par ce qu'on appelle les Ligues de protection de la révolution. La non-neutralité, du ministère de l'intérieur. 4- La tentative de lever le sit-in devant l'ANC, le 28 juillet par la force et l'usage de violence policière avec la complicité de milices 5- Demander aux forces démocratiques et progressistes de s'unir pour rendre la révolution de la liberté et de la dignité à son objectif initial, à savoir le sauvetage de la Tunisie. 6- Appeler les instances administratives et nationales à appeler à la mise en place d'un gouvernement de sauvetage national et un droit de regard d'en donner aux députés démissionnaires de l'ANC