Le secrétaire général du CPR, Imed Daïmi, a déclaré, aujourd'hui jeudi 7 novembre 2013, à la TAP qu'il était plus adéquat de déterminer, préalablement, la nature et les fonctions du futur gouvernement et se concerter sur les normes et les critères nécessaires aux choix du chef du gouvernement. M. Daïmi a suggéré de remettre les accords établis au président de la République, qui choisira la personnalité la plus appropriée pour occuper le poste selon les exigences des dispositions de la loi portant organisation provisoire des pouvoirs publics. Imed Daïmi a exprimé sa déception quant au blocage du processus gouvernemental, qui est dû, selon lui, à une stratégie incorrecte et qui a basculé vers un conflit de lobbies. Par ailleurs, le secrétaire général du CPR a indiqué que la feuille de route signée par les partis participant au dialogue n'a plus aucune valeur puisqu'elle n'a pas été respectée et qu'on ne peut plus parler de « la signature de ce document » comme étant une condition sine qua non pour participer au dialogue. Il a, aussi précisé, que le CPR espère rejoindre le dialogue national s'il y est invité par le quartette.