Lors de son interrogatoire, l'un des accusés dans l'affaire du meurtre de Mohamed Brahmi avait déclaré que les cellules terroristes surveillaient les déplacements des bus de la sûreté nationale y compris ceux de la Garde présidentielle. Cet aveu a eu lieu quelques mois seulement avant l'attentat qui a visé le bus de la Garde nationale à l'avenue Mohamed V le 23 novembre 2015. L'enquête concernant l'attentat en question se poursuit.