Décidément, les délires de Lotfi Ben Sassi n'ont plus de limites ! Franchement, je n'étais pas surpris de lire l'article diffamatoire signé par Lotfi Ben Sassi et paru hier à Business News en guise de réponse à un article intitulé « Les journalistes veulent élire leur rédacteur en chef ». En fait, je n'étais pas surpris parce que je suis, tout simplement, la quatrième victime après Mongi Gharbi, Raouf Seddik et Jawhar Chatty, qui ont été eux aussi malmenées par L. Ben Sassi dans ce même média ! Il y trouve un espace pour régler ses conflits avec ses collègues. Notre ami ô combien démocrate a horreur des élections. En se mettant à dos 25 de ses collègues qui exigent l'élection de leur rédacteur en chef, notre grand journaliste se prend pour un dieu qui veut imposer sa volonté divine. Il veut nous faire oublier qu'il a été nommé par l'ex-P-d.g membre du conseil de la rédaction du journal. Voilà pourquoi il est contre les élections oubliant que partout dans le monde les membres du conseil de la rédaction doivent être élus.
Lui qui en 2016 a produit un seul article, idem pour l'année en cours. En deux ans, il a écrit deux articles : le premier parle de Nabil Karoui comme étant futur chef du gouvernement, le deuxième est une exclusivité : Nessma a doublé un feuilleton turc ! Et comme le ridicule ne tue pas, notre brave journaliste LBS trouve normal, depuis une dizaine d'années d'ailleurs, de travailler à plein temps chez Karoui and Karoui tout en étant titulaire au journal LaPresse.
A quelques mois de la retraite, il finit par avoir le grade de rédacteur en chef (pas la fonction) bien qu'il ne compte à son actif aucun diplôme universitaire. Et comme les petites âmes n'ont aucun souci dans la vie sauf celui du gain facile, notre ami, et grâce à ses relations privilégiées avec l'ex-P-d.g, a bénéficié de toutes les primes et les avantages en nature bien qu'il ne mette que rarement les pieds au journal. Notre sommité se contente d'envoyer ses dessins bidon par email. Des dessins qui n'ont pas évolué depuis une vingtaine d'années et que notre ami considère comme un texte sacré que personne, y compris le rédacteur en chef, n'a le droit de critiquer. Ainsi, je partage parfaitement l'avis de monsieur LBS qui dit: « Ce qui se passe à LaPresse est une honte », car ce titre résume parfaitement le cas de M . Ben Sassi. A bon entendeur, salut.
Said Ben Kraiem, ancien journaliste et ancien directeur de la rédaction à LaPresse
Ces échanges n'engagent en rien Business News qui ne fait que relayer les différents points de vue de toutes les parties