Le ministre des Droits de l'homme et de la Justice transitionnelle, Samir Dilou, invité mercredi 06 février sur Shems FM, a déploré le décès de Chokri Belaïd, qu'il considère comme un ami et un collègue malgré les différences de vues et d'appartenance. M. Dilou n'a pas exclu que la mort de Chokri Belaïd soit un assassinat politique. Il a soutenu que la violence sous toutes ses formes n'épargne personne et qu'elle ne sert l'intérêt d'aucune partie.