Le ministre des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle, Samir Dilou, a reconnu, vendredi 8 novembre 2013, que la torture existait encore en Tunisie après la Révolution. Dans une déclaration accordée à Mosaïque FM, Samir Dilou a affirmé que certains agents de sureté doivent changer de mentalité pour ne plus avoir recours à la violence lors des interrogatoires des suspects.