«Comme tout le monde, nous avons pris connaissance des déclassements à Carthage en lisant les textes des décrets sur le Journal officiel. Nous n'avions pas été avisés de la procédure de la levée de la protection sur ces terrains, qui faisaient partie du parc archéologique. La commission nationale du patrimoine, formée de représentants de plusieurs ministères et du directeur général de l'Institut national du patrimoine, n'a pas été consultée sur ce dossier. La dernière fois que cette instance s'est réunie remonte à l'année 2004 pour déclasser de petites parcelles enclavées dans des zones urbaines».