La dernière chronique «Point de mire» de notre collaborateur Abdelhamid Gmati (La Presse du 26-5) a inspiré à l'un de nos lecteurs le «commentaire positif» suivant : Dimanche 22 mai. Invité par le parti Ettajdid pour une réunion de prise de contact (à Midoun-Jerba) avec MM. Mahmoud Ben Romdhane, Samir Taïeb et l'ami du parti Ahmed Smaoui. Je réponds : oui, et je pose la question suivante au trio: «Pourquoi ne voulons-nous pas apprendre nos leçons ? Pourquoi ne pas vouloir comprendre que la démocratie tant désirée ça n'est pas seulement l'alternance». C'est aussi et surtout un contre-pouvoir fort ? Et… pas de réponse, circulez y a rien à voir ! Alors j'ai proposé à certains de mes amis de penser à créer un parti opposant permanent au pouvoir (Popp). Hier, jeudi 26, j'ai lu sur votre journal l'article de M. Abdelhamid Gmati et j'ai beaucoup apprécié. Je veux dire que nous sommes deux maintenant à le dire haut et fort: le contre-pouvoir fort avant le pouvoir ! Bienvenue au club ! Et merci.