Dans une précédente conférence de presse, le président de la JSK avait annoncé son départ. Mais avec des conditions : préparer les textes des statuts et règlements intérieurs, rebaptiser la salle couverte au nom de Aziz Miled et remettre le club aux mains d'une personne de confiance. A l'époque, nous avions réagi à cette «sortie sous conditions», un président censé partir n'étant pas en position de poser les siennes et laisser le choix des décisions à son successeur. Nous y sommes puisque M.Fateh Alouini est passé à l'acte. Les textes d'abord. • Le niveau d'études du président ou du vice-président doit être universitaire • Le candidat doit avoir une expérience d'un minimum un mandat dans un bureau directeur précédent • Le candidat doit bénéficier de la confiance (écrite bien sûr) de 5 anciens membres. Et M. Fateh Alouini va-t-il se représenter? Il dit être tenté par un second mandat. Sous conditions bien sûr car monsieur n'accepte pas n'importe quoi. • Si l'équipe fanion parvenait à améliorer son capital-points • Si l'équipe parvenait à améliorer son classement par rapport à la saison écoulée. • Si le club trouvait un terrain d'entente avec les joueurs-cadres en fin de contrat (Mahjoubi, Dridi, Mounbain, Echeikh, Kasdaoui et Ghannem. • Si le bureau actuel pouvait ramener de l'argent frais pour engager de lourdes dépenses qui attendent le club. Le président sortant de la JSK a toutefois oublié quelque chose, même s'il l'a laissée entendre. Le prochain candidat et président doit être pharmacien et s'appeler Fateh Alouini. L'assemblée générale qui aura lieu ce dimanche appréciera. Vous faites très fort là, M. Alouini !