Notre collègue photographe Mokhtar Hmima a vécu dimanche soir des moments de frayeur au stade de Radès. Ayant rejoint à la fin de la rencontre CSHL-EST la salle de presse équipée d'internet pour envoyer à partir de là son reportage photos à notre journal, il a terminé son travail pour aussitôt trouver toutes les portes d'accès fermées à clé. L'agent relevant de la direction de la Cité sportive de Radès avait déjà plié bagage sans s'être assuré qu'il n'y avait plus personne au stade. Nous vous laissons le soin d'imaginer la panique qui s'est emparée de notre photographe, lequel ne dut son salut qu'au secours apporté par le biais de son portable par quelques agents traînant encore hors de l'enceinte du stade.