p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Les médecins p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"et les émissions audiovisuelles Le Conseil régional de l'Ordre des médecins(CROM) de Tunis, a mis en garde, mardi, les médecins participant à des émissions audiovisuelles spécialisées dans les soins de médecine esthétique, lors desquelles, "l'invité" doit payer un droit de participation contre une publicité auprès du grand public, au risque de sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu'à l'interdiction d'exercice et la radiation définitive du tableau de l'Ordre. Dans un communiqué, le Conseil régional de l'Ordre des médecins (CROM) de Tunis, a indiqué que ces pratiques constituent clairement "une infraction grave au code de déontologie médicale dans son article 16 interdisant la publicité mais aussi dans son article 22 portant préjudice à l'honneur et à la probité de la profession". Le CROM a indiqué à cet effet qu'il reste à la disposition des professionnels des médias pour leur expliquer les spécificités de l'exercice médical régi par des règles déontologiques et leur proposer des solutions leur permettant d'inviter des médecins et d'assurer leur mission d'information du grand public, tout en étant conformes à la déontologie. r Ils ne sont pas les seuls à faire de la « publicité déguisée », et c'est le rôle des instances concernées de bannir pareilles pratiques du paysage médiatique, parce que cela fait honte. p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Technologie 5G: pas avant 2022 Le ministère des Technologies de la communication et de l'Economie numérique compte préparer les cahiers de charge relatifs à l'utilisation de la technologie 5G, (cinquième génération de téléphonie mobile), en 2021, a indiqué le ministre Mohamed Fadhel Kraïem "D'après les premiers résultats d'une étude élaborée par un cabinet d'étude international sous l'égide de l'Instance nationale des télécommunications, le lancement des services 5G, n'est possible qu'à partir de 2022", a-t-il dit, dans une déclaration à la presse accordée en marge de l'ouverture de Tunisie Didital Summit (27-28 octobre 2020). . Certes, la Tunisie est l'apogée en ce qui concerne l'utilisation des technologies modernes, sauf que l'utilisation de la technologie 5G est principalement, destinée à des domaines professionnels, a-t-il dit. r Lentement le matin, pas trop vite le soir. Tout va cahin-caha et nous serons, toujours, à la queue du peloton, dans les technologies modernes, parce que notre administration prend tout son temps. p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Ras-le-bol des services d'urgence p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"à la Rabta L'organisation tunisienne des jeunes médecins annonce la suspension du travail au niveau des urgences de la Rabta, à partir du 26 octobre 2020, à l'exception des cas d'extrême urgence suite à la prise d'assaut du service, perpétrée dans la nuit du 23 au 24 octobre 2020, par des inconnus et l'agression du cadre médical et paramédical. Le président de l'organisation Jed Henchiri a indiqué qu'en coordination avec les médecins résidents et internes du service des urgences de la Rabta à Bab Sâadoun, il a été décidé de réduire le nombre des heures de travail dans ce service à cause de la détérioration de la situation sanitaire et en l'absence de sécurité du cadre médical et paramédical. Henchiri a souligné dans le même ordre d'idées que la décision prise par l'organisation est en vigueur jusqu'à ce qu'on trouve des réponses favorables, de la part du ministère de la Santé, aux revendications lancées depuis le 3 octobre courant. Il s'agit notamment d'accélérer le recrutement du personnel médical et paramédical et de favoriser le matériel nécessaire pour se protéger du coronavirus. r Les malheureux médecins urgentistes sont en première ligne. Il ne suffit pas le danger auquel ils font face tous les jours, il faut que le citoyen y mette du sien pour leur empoisonner la vie. p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Le pharmaciens p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"face à une législation obsolète "Plus de 3.000 pharmaciens sont sur la liste d'attente depuis de nombreuses années et ont été empêchés d'ouvrir leurs propres pharmacies en raison des lois réglementant le secteur", a déclaré, mercredi à la TAP, Ramzi Bououn, président de l'association tunisienne des pharmaciens libres. Selon lui, certains pharmaciens ont attendu plus de 28 ans pour pouvoir ouvrir leur propre pharmacie, alors que le tour de certains autres n'arriverait que dans 100 ans à cause des lois "obsolètes et injustes", a-t-il dit. "Les gouvernements successifs n'avaient pas été en mesure de traiter sérieusement ce dossier", a-t-il ajouté, soulignant qu'aucune solution radicale n'a encore été proposée pour régler cette situation. Bououn a, par ailleurs, appelé à l'annulation de l'article 29 de la loi n ° 55 de 1973 organisant les professions pharmaceutiques, qui conditionne l'autorisation d'implanter une pharmacie dans une commune au nombre d'habitants ce qui empêche, selon lui, les pharmaciens d'ouvrir leurs propres pharmacies et les oblige à rester sur des listes d'attente pendant de longues années. r Comme on le voit, une législation obsolète empêche le pays de progresser. Quel mal y aurait-il si on permet à ces pharmaciens d'ouvrir des officines, surtout que l'augmentation de la population le permet ? p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Récolte d'olives p class="p1" style="text-align: center; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"en baisse de 43% à Gabès La saison de cueillette des olives vient de démarrer dans le gouvernorat de Gabès qui compte 42 huileries. Cette année, la récolte dans la région est estimée à 40 mille tonnes, en baisse de 43% par rapport à la saison dernière, selon les données fournies par le commissariat régional au développement agricole à Gabès. Le gouvernorat compte 1,2 million d'oliviers, ce qui représente 40% des superficies consacrées aux arbres fruitiers. Pour assurer un meilleur développement de la culture des olives dans la région, une association, baptisée « Producteurs et transformateurs de l'huile d'olive à Gabès », a été créée pour œuvrer pour au renforcement du rendement de cette activité. r On d'autres temps, avec l'Institut national des études de recherches agronomiques (INRAT) qui était un fleuron de la Tunisie, on aurait pu réfléchir aux moyens d'atténuer ces inégalités dans la production.