Si Sigmund Freud faisait un tour au centre ville, il aurait dit "Dis-moi comment tu te gares, je te dirais comment tu es!". Hé bien, essayons d'en décrypter quelques-uns... Alors, il y a l'égoïste qui se gare entre deux places,, qui se gare en deuxième position et qui bloque toute la circulation. Il y a aussi le nonchalant, celui qui met le clignotant à droite et qui tourne à gauche. Lui se gare là où il s'arrête même en sens inverse. Il y a surtout le paresseux. Il se gare devant le boulanger, le laitier, l'épicier... sur les trottoirs, dans une ruelle étroite et même à l'entrée d'une impasse. Quant à l'impoli, il se gare devant les garages, à la sortie des parkings, sur les places réservées aux handicapés (quand il y en a, bien sûr), sur les passages cloutés ... Tous ces profils ont un point commun, ils sont rarement inquiétés par les camions fourrières. Ils préfèrent dégager les places payantes qu'assurer la fluidité de la circulation.