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La société de promotion immobilière répond Droit de réponse - A propos de l'article : " Voilà comment les promoteurs annexent tout, y compris le trottoir : Cité à 160 mille dinars l'appartement et pas un carré de verdure "
Suite à la parution sur notre journal de l'article : " Voilà comment les promoteurs annexent tout, y compris le trottoir : Cité à 160 mille dinars l'appartement et pas un carré de verdure ", nous avons reçu les précisions suivantes de la part de la société immobilière S.I.L. " Suite à l'article paru sur votre journal du jeudi 27 août 2009, dans lequel notre société est accusée par des acquéreurs de les avoir bluffés en promettant un jardin public, notre société de promotion immobilière " S.I.L " apporte les éclaircissements suivants : - Notre société a acquis auprès d'un lotisseur agrée trois lots de terrains dans un lotissement approuvé, sur lesquels notre société a édifié un ensemble résidentiel. - La vente des logements s'est déroulée conformément à des promesses de vente accompagnées de documents techniques contractuels conformément à la loi régissant la pratique de la promotion immobilière. L'ensemble de nos engagements vis-à-vis de nos acquéreurs couvre tout ce que notre société allait édifier à l'intérieur de l'enceinte de nos trois lots. Toute intervention ou engagement en dehors de cette enceinte n'est pas du ressort de notre société. - Dans aucun des documents de la promesse de vente, notre société n'a fait allusion à la vocation d'aucun des terrains limitrophes ni même d'un projet de jardin public en face. - Chaque fois qu'un acquéreur nous posait la question sur la vocation du terrain en question, notre réponse était qu'il s'agissait de " deux lots en propriété privé " dont on ignore le programme du propriétaire. Sachant que tout citoyen a la possibilité de se renseigner auprès de la municipalité concernant n'importe quel lot dans n'importe quel lotissement. - Quant à notre maquette publicitaire (qui porte la mention " document non contractuel "), elle fait apparaître certes sept arbres et arbustes, plantés sur le trottoir d'en face ce qui ne signifie en rien l'existence d'un jardin public. Par conséqunt, les termes " bluffer " et " tromper " employés par une minorité de nos acquéreurs constituent des propos sans fondement et contraires à la réalité. Sté Immobilière S.I.L
*** N.D.L.R : Comme le dit la société immobilière, nous avons rapporté des propos émanant de quelques acquéreurs auprès de la société. Et en l'occurrence, il s'agit d'un reportage comprenant des témoignages ainsi que la position de la municipalité. Il ne tient pas à nous d'évaluer le degré de conformité de la résidence à la maquette ayant servi de support publicitaire. Et même si cette maquette porte la mention " document non contractuel ", sept arbres suffisent pour justifier " un espace vert ", formule utilisée dans notre article. Nous n'avons donc pas parlé de " jardin public ".