De la pudeur ! Les confrères qui étaient sous les ordres, par intérêt ou contraints, d'Abdelwaheb Abdallah et ceux qui étaient chargés par l'ATCE de missions « spéciales » et ceux surtout, qui ont contribué au renversement illégal du bureau élu, légitime et indépendant du Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT), n'auraient pas dû assister aux travaux du 2ème congrès du syndicat tenu samedi et dimanche. Un congrès, le premier après la Révolution du 14 janvier. Ils auraient dû se faire oublier du moins en cette période de transition. Leur présence a été perçue comme une provocation par ceux de la profession qui étaient réprimés sous le régime de Ben Ali… Néjib SASSI choukri [email protected]