Encore une fois nous nous trouvons malheureusement dans l'impossibilité de dénicher le qualificatif approprié, idoine pour étiqueter la « prestation »( ?) de Mourad Ben Hamza. Passe quand un arbitre en arrive à commettre une voire deux erreurs qu'on pourrait à la limite considérer comme faute d'appréciation, de bonne foi, intentionnelles, etc. Mais quand cet homme en noir fort du solide parapluie protecteur de celui qui l'a désigné, assuré de l'impunité s'ingénie à fausser sciemment le résultat du match, cela fait désordre et devient scandaleux, infect, sentant la pourriture à des milliers de la ronde. Le sifflet de la «honte» Trois fautes de main dans la surface de réparation sfaxienne avec trois penalties des plus évidents non sifflés en faveur des locaux. Deux penalties « offerts » aux visiteurs sur des fautes imaginaires que seul Ben Hamza avait "devinées" et dont une en dehors de la surface. Un coup de bélier à la "Zidane" de Ibrahima Ndong asséné à Houcine Ragued juste sous les yeux de l'arbitre assistant envoyant le milieu « sang et or » au tapis et sanctionné seulement par une gentille biscotte jaune. Avec un tel arbitre, Même l'Espagne championne du monde en titre n'aurait pu s'en sortir du moment que tous ses joueurs auraient complètement perdu leur concentration à l'instar de ce qui advint à ceux de l'Espérance