Tous les efforts déployés jusque là par les figures de proue et les dignitaires de la ville d'Hammam-Lif pour infléchir Adel Daâdaâ et le convaincre de revoir sa copie concernant sa volonté de quitter le navire et de mettre la clé sous la porte ont été vains. Daâdaâ campant solidement sur sa position et refusant la moindre possibilité de faire machine arrière. Il est vrai qu'en l'état actuel de choses et avec la position de la tutelle faisant la sourde oreille aux requêtes financières des présidents des clubs, aucun élément nouveau de poids de nature à faire changer Adel Daâdaâ d'avis. Les textes en vigueur modifiés et approuvés par les inconditionnels lors de l'ultime AG élective stipulent qu'en pareil cas, le premier vice-président prendrait les commandes et terminerait le mandant courant encore pour une année. Dans le cas de figure pareil responsabilité en incomberait à Fadhel Ben Hamza. Mais aux dernières nouvelles, ce dernier ainsi que les autres membres du BD ne cautionnent nullement cette approche et ne désespèrent pas de faire revenir le « Boss » à de meilleurs sentiments. Le tout Hammam-Lif attend donc avec ferveur la décision des instances décisionnelles à ouvrir les vannes et à venir en aide aux clubs. Une éventualité en mesure de faire passer l'orage et convaincre Daâdaâ à reconsidérer sa position.