On aura tout dit sur une « guerre » contre le terrorisme qui n'a jamais commencé de fait ! Quand on parle d'une guerre l'objectif c'est de vaincre l'ennemi par tous les moyens légitimes si possible et à défaut par « tous les moyens » qui permettent d'affaiblir le potentiel ennemi et l'éradiquer à la source. Ces concepts de la « fin... justifie les moyens » ou de celui « à la guerre comme à la guerre », sont de la plus haute actualité. Les moralistes défenseurs des « droits de l'Homme » endimanchés et installés confortablement dans leur tour d'ivoire galactique n'ont jamais eu de parents parmi les victimes du monde entier assassinés froidement au Bardo par la main du crime qui n'appartient pas seulement au terrorisme mais à la négation du droit élémentaire et naturel, celui « du droit à la vie ». La guerre contre le terrorisme doit commencer d'abord par une remise en question « du droit humain positif », à tous ceux qui ont pour « religion » de tuer la vie au nom d'un « ordre » criminel et fasciste transcendant. La guerre contre le terrorisme doit s'engager contre les foyers idéologiques et de propagation de la culture de cet ordre qui veut régenter la terre justement en utilisant le fameux : « La fin... justifie les moyens » ! On peut toujours répondre... mais on ne doit pas éradiquer la « barbarie » par la « barbarie » ! Alors, il va falloir se décider à accepter l'existence de la « barbarie » Daëch qui veut ensanglanter l'ensemble du monde libre, civilisé et construit aux normes de la sacralité de la vie humaine et du droit à « être » libre et à se déterminer. Si l'annonce de la « guerre » contre le terrorisme est sérieuse, il faut alors, en accepter les conséquences, entre autres, appliquer de la façon la plus rigoureuse les lois pénales y compris la loi anti-terroriste de 2003, proclamée par les « rêveurs » des droits de l'Homme absolus, loi « Ben Ali » ! Il faut aussi accepter de faire les procès sans faiblesse ni était d'âme des centaines de terroristes et complices qui végètent dans les prisons tunisiennes et qui n'ont pas été condamnés à ce jour, alors qu'ils sont entretenus, nourris, blanchis et soignés au nom de l'Etat « civil, démocratique et humain », qu'ils veulent justement détruire dans un bain de sang collectif si nécessaire. Alors, appliquons les lois disponibles de la façon la plus ferme, sans faiblesse ni état d'âme, et ça fera peut être réfléchir les futurs terroristes. Si vous voulez enfin faire la « guerre » au terrorisme il faut que les « mères » des terroristes pleurent avant celle du soldat policier, martyr de la Nation : Aymen Morjane et pour cela, aucun droit humain ne doit permettre à ces terroristes de continuer à se promener dans la nature, hébergés nourris et protégés par des complicités évidentes que personne ne veut voir ni appréhender. La guerre contre le terrorisme c'est la guerre totale et elle n'a qu'un objectif : « Vaincre ou mourir » ! Alors.... Soyons sérieux, les Tunisiens qui veulent le beurre et l'argent du beurre, comme d'habitude, et qui veulent arracher le terrorisme à la racine, en évitant de casser un œuf dans la maison de verre des droits de l'Homme, préfabriqués, par le « cinéma » mondial et ses ombres à Tunis. Au fait, qui a décomposé les structures anti-terroristes proclamées « police politique... de Ben Ali et de l'ancien régime », du ministère de l'Intérieur au lendemain de la Révolution ! Cela aussi fait partie de l'amalgame et du gros mensonge qu'on continue à comporter pour fermer les yeux sur tous ceux et surtout « celles » qui ont détruit l'immunité sécuritaire de ce pays au n om des droits de l'Homme à des fins tout simplement d'égocentrisme personnel et d'aspiration au commandement politique ! Reconstruire le renseignement et l'efficacité des services spéciaux tunisiens, c'est aussi, donner l'espoir de gagner une guerre « annoncée », mais encore insuffisamment engagée contre le terrorisme ! Maintenant, tournons les pages et droit au but : « Vaincre le terrorisme par tous les moyens... comme à la guerre ». La survie de « l'Humanité » en dépend ! Rappelons-nous la deuxième guerre mondiale, les Américains et les alliés et la guerre implacable menée contre le fascisme. Demandez à Roosevelt, à Churchill, à De Gaulle, et à Staline s'ils ont eu des états d'âme, en bombardant Berlin, où beaucoup d'innocents sont morts parce que le fascisme l'a voulu !