C'est dans l'une des mosquées de Sfax que les faits ont eu lieu, dans cette affaire de viol sur un mineur de 10 ans. L'auteur des faits procéda à des harcèlements continus à l'encontre de cet enfant, qui n'avait pas compris au début, le but de ce quadragénaire qui le saluait à chaque fois en essayant de l'entraîner vers la salle des ablutions. Le gamin a fini par céder, et la bête a pu abuser de lui à plusieurs reprises, le mettant en garde à chaque fois de rapporter les faits à ses parents. Aussi, le gamin , dans un état de choc, et pris de peur, par les menaces de son agresseur, se garda de relater sa mésaventure à sa maman. Jusqu'au jour où , pris de douleurs dans ses endroits intimes, a fini par faire part de ses souffrances à sa mère en lui rapportant ce qui s'est passé avec son agresseur. Scandalisée, celle-ci alla dare-dare chez le médecin qui après auscultation de son fils, a confirmé que les douleurs dont souffre son fils étaient dus à des violences sexuelles répétées. Elle déposa pliante contre l'agresseur, tout en confiant son fils à un psychiatre étant en état de choc. Les agents de la brigade criminelle ont arrêté l'agresseur et il avoué les faits incriminés, confirmant qu'il avait abusé de l'enfant à plusieurs reprises. Informé, le procureur de la République l'a inculpé de viol sur la personne d'un mineur, et a ordonné sa mise en détention en attendant sa comparution devant le tribunal. Il s'expose à une lourde peine, les faits étant considéré comme un crime. Toutefois, et dans le cas d'espèce, l'agresseur serait lui-même un handicapé mental. Ce qui ne le rend, peut-être pas, pleinement responsable de ses actes. Il faut cependant attendre le rapport d'expertise psychiatrique, à laquelle il sera certainement soumis prochainement.