Le président de la République, Moncef Marzouki, a déclaré dans un discours prononcé à la suite de l'assassinat de Mohamed Brahmi, jeudi 25 juillet 2013, que le choix de cette date, au moment où un consensus politique est presque conclu et où les assassins de Chokri Belaid sont sur le point d'être dévoilés, n'est pas un hasard. Moncef Marzouki a appelé, par ailleurs, dans ce même discours, au retour au calme et au dialogue entre les différentes parties afin de contrer ce complot qui vise le pays. de son côté, la présidence de la République a fustigé, dans un communiqué rendu public ce jeudi 25 juillet 2013, «le crime odieux qui a coûté la vie au constituant et coordinateur général du Courant populaire, mettant en garde, toutefois, contre «le piège de la discorde».