La décision des autorités de publier des circulaires imposant la fermeture des cafés et des restaurants pendant le mois de Ramadan est une entrave grave de la constitution, selon un communiqué de la coalition civile pour les libertés individuelles. Elle a exhorté les autorités tunisiennes à respecter ses engagements constitutionnels qui garantissent la liberté de conscience et de confession et à assurer la protection des personnes contre toutes les formes d'agression.