Tarek Cherif, président de la CONECT, a déclaré, ce vendredi, en marge de la conférence tenue autour des grandes lignes de la loi des finances 2019, que la Tunisie a deux impératifs qu'elle doit exécuter pour espérer sortir de sa crise : D'abord diminuer la masse salariale et ensuite privatiser quelques entreprises publiques. Ajoutant que le maintien d'entreprises déficitaires sous tutelle de l'Etat lui fait perdre énormément de moyens. La privatisation va, non seulement, occasionner une rentrée d'argents dans les caisses de l'Etat, mais en plus, mettre à niveau ces entreprises en difficulté.