La présidente du PDL Abir Moussi a déclaré aujourd'hui, en marge d'une conférence de presse tenue par le parti au siège de l'ARP, que le PDL avait proposé d'abroger la loi organique n° 2017-58 du 11 août 2017, relative à l'élimination de la violence à l'égard des femmes. La députée a déclaré que l'ancien texte prévoit déjà des mesures pour lutter contre la mauvaise image donnée aux femmes dans les médias, mais le parti a ajouté un alinéa qui sanctionne pénalement la « le blanchiment et la justification » de ladite violence. Abir Moussi a, aussi estimé que les personnes morales, notamment les associations et les ONG, doivent également être sanctionnées en cas d'incitation à la discrimination à l'égard des femmes par la suspension de leurs activités et même par la dissolution en cas de récidive. Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!