Suite aux rumeurs qui circulaient sur les réseaux sociaux et selon lesquelles Arbi Materi aurait bénéficié de l'amnistie et aurait été remis en liberté, le ministère de la Justice a déclaré que ces rumeurs étaient fausses et non fondées. La peine de mort à laquelle l'accusé a été condamné, pour viol sur un mineur assorti de meurtre, a été commuée en peine de prison à perpétuité.