Les envois des fonds par les migrants tunisiens, estimés à 5% du PIB et 28,7% de l'épargne nationale en 2012, ne sont pas utilisés à bon escient pour le développement de l'économie nationale en raison du coût élevé de leur transfert lequel peut atteindre 13% du montant transféré, a indiqué M. Chedly Ayari, Gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT).