Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a reproché à certains médias audiovisuels privés de « tomber dans le piège de la vindicte, de l'excitation des foules et de la propagande politique et idéologique" et à d'autres médias de "travestir les faits en connaissance de cause et véhiculer des mensonges, allant jusqu'à dénaturer le cran des forces militaires et sécuritaires dans le dessein de porter atteinte à leur moral".