Quelque 249 "déclarations de suspicion" ont été déposées par des banques, des sociétés d'assurances portant sur des affaires de blanchiment d'argent, dont les premiers responsables sont des personnes politiquement exposées, a affirmé Mme Habiba Ben Salem, représentante de la Commission tunisienne des analyses financières (CTAF), relevant de la Banque centrale de Tunisie (BCT).