L'organisation Liberté et équité a dénoncé " une politique délibérée de torture et de mauvais traitements en Tunisie qui, va de l'étape de l'interpellation jusqu'à l'incarcération, en passant par la garde à vue. "Il y a tout un réseau d'agents impliqués dans les faits de torture appartenant aussi bien à la police et Garde nationale qu'au personnel pénitentiaire, voire des magistrats et des médecins", affirme-t-elle...