«L'ouverture des échanges entre la Tunisie et l'UE, dans le cadre de l'ALECA, encourage le dynamisme économique, crée de la croissance et in fine de la richesse. Au contraire, un repli sur soi pourrait avoir des effets très négatifs pour l'économie tunisienne, en ralentissant l'activité et en entravant les exportations tunisiennes, encore fragiles», a affirmé Mme Laura Baeza, ambassadeur, chef de la délégation de l'Union Européenne en Tunisie.