« Si le projet de loi de réconciliation économique et financière doit se fixer un objectif en termes de résultats, il devra cibler au moins 1,8% du PIB, ou près de 1500 millions de dinars (entre revenus directs d'amnistie et de réconciliation, et indirects liés aux effets multiplicateurs sur l'investissement privé et au climat des affaires en général), soit la même proportion du PIB perdue par la guerre contre le terrorisme », a estimé, mercredi, le Centre Tunisien de Veille et d'Intelligence Economique (CTVIE) relevant de l'IACE, en réaction au débat sur cette loi controversée.