130 plaintes ont été déposées, entre octobre et décembre 2012, à l'encontre de bureaux de mariage « fantômes ». Ces bureaux, ambulants, ont choisi leurs victimes parmi des étudiantes et des habitants des quartiers populaires tels que Hay Ettahrir et Hay Ettadhamon. Les autorités de tutelle ont été avisées de l'existence de ces bureaux de mariage suite au dépôt de dix plaintes par des étudiantes du Campus de la Manouba. Selon Akhbar Al Joumhouria, ces bureaux de mariage « s'engagent » à trouver le partenaire idéal pour les personnes souhaitant convoler en juste noce, pour des tarifs variant entre 30 et 60 dinars.