La démission a été présentée après la réunion au Palais de Carthage, qui comptait également le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail, Noureddine Taboubi et le président du Parlement, Rached Ghannouchi. Un certain nombre de députés ont adopté un projet de motion de censure pour retirer la confiance au gouvernement d'Elyes Fakhfakh, l'accusant d'être impliqué dans un soupçon de conflits d'intérêts.