Karim Arfa avait suscité l'admiration en réparant des pupitres d'écoles à partir de rebus et de ferraille. Il avait aussi nettoyé une aire abandonnée près d'un hôpital et y avait placé des bancs fabriqués aussi à partir de déchets. Cette fois il a attaqué un défi plus grand et plus important, celui de construire un pont métallique. A cette fin, il a utilisé de la ferraille, notamment de vieux rails abandonnés. Comme son talent est accompagné de bon-sens, il a choisi de faire appel à des ingénieurs pour s'assurer de la solidité et de la sécurité de l'édifice. Bravo Karim et que vive les jeunes créateurs de notre Tunisie.