Dans une interview accordée au quotidien algérien « Al Watan » publiée dans son édition du vendredi 24 mai 2013, Basma Khalfaoui a réitéré ses accusations portées à Moncef Marzouki, Président de la République, d'avoir caché au Juge d'instruction sa connaissance des menaces de mort portées au martyr. Et d'ajouter qu'elle avait refusé de recevoir ses condoléances pour ce qu'elle considère comme « mensonge » du Président et sa non participation à la résolution de l'affaire de l'assassinat du martyr. Ahmed Néjib Chebbi, leader du Parti Républicain, a également été cité par Basma Khalfaoui, il aurait nié être au courant des menaces sur le martyr Chokri Belaïd.