Depuis son ouverture, jamais le festival de la médina n'a vu autant de public que celui venu dimanche 5 septembre 2010 au Palais Kheireddine pour assister au concert du trompettiste libanais Ibrahim Maalouf. Depuis son ouverture, jamais le festival de la médina n'a vu autant de public que celui venu dimanche 5 septembre 2010 au Palais Kheireddine pour assister au concert du trompettiste libanais Ibrahim Maalouf. Avec juste une demi-heure de jeu, l'artiste a emporté le public vers d'autres cieux, tantôt mélancoliques, tantôt joyeuses. On l'appelel « l'enfant de toutes les musiques », et on lui a remis le prix de la « Révélation instrumentale française » lors des Victoires Jazz 2010.
Digne héritier de l'inventeur de la trompette à quarts de tons, Ibrahim aborde de façon différente la manière de jouer de cet instrument. En live, son jeu met les présents hors du temps et de l'espace. Pour lui, la musique ne se case pas dans des tiroirs ou des styles. C'est pour cette raison qu'Ibrahim ne se considère pas comme étant un jazzman (même si ses disques figurent dans les rayons Jazz). Connu par son long parcours de recherche dans la musique traditionnelle arabe, Maalouf a présenté des reprises de Fairouz. de Jazz, de Rock, d'Eléctro et d'Oriental; toutes ces influences constituant une entité musicale qui est le genre Ibrahim Maalouf. crédit photo: akrem meloman
