Samir Dilou, ministre des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle, a déclaré aujourd'hui lundi 3 décembre 2012 au micro d'Express Fm "qu'après la révolution, aucun gouvernement ne cherche à nuire à son peuple". Il a ajouté que "réussir à équilibrer entre le respect du prestige des personnes et la protection des institutions publiques, synonyme du prestige de l'Etat est difficile à réaliser notamment dans une période aussi délicate et précaire. M. Dilou a, également, rappelé que la révolution avait engendré des martyrs et a indiqué concernant les récent événements de Siliana : "Il y a bien eu des mutilations et des défigurations fort regrettables, mais Dieu merci, il n'y a pas eu de pertes humaines!". D.M