Dans un communiqué paru ce lundi 15 juillet 2013 et relayé par la TAP, l'Association tunisienne de lutte contre la torture appelle à la libération provisoire de Ridha Grira, ancien ministre de la Défense sous l'ère Ben Ali pour des raisons de santé. L'Association dont la présidente n'est autre que Radhia Nasraoui indique que Ridha Grira doit subir des séances de chimiothérapies et que ce traitement nécessite des conditions appropriées (présence de la famille notamment afin de l'entourer de l'attention nécessaire).