Le ministère de la Santé a souligné, dans un communiqué rendu public, qu'aucun cas de maladie humaine en relation avec des vibrions cholériques n'a été enregistré. Le ministère a démenti, à cet effet, ce qui a été rapporté par des réseaux sociaux. Le ministère a précisé que les analyses systématiques des échantillons d'eaux usées ont permis de détecter, au cours du mois de juin 2012, la présence de vibrion cholérique dans un seul échantillon issu de la station de traitement des eaux usées de Rades-Meliène. Cependant, ce cas isolé dans l'espace et dans le temps a été suivi par les mesures de prévention nécessaires des maladies d'origine hydrique.