Rafik Abdessalem, ancien ministre des Affaires étrangères, a affirmé, jeudi 27 février 2014, qu'il soutient les dispositions de la feuille de route du Quartet appelant à la dissolution des Ligues de protection de la Révolution (LPR). Revenant sur les évènements survenus dans la soirée du mercredi 26 février 2014 au Kram, dans la banlieue nord de Tunis, conséquemment à l'arrestation d'Imed Dghij, dirigeant des LPR, l'ancien ministre a souligné que cette arrestation aurait pu se faire plus calmement, en adressant à l'intéressé une invitation à comparaître.