Amnesty International appelle à l'annulation de la condamnation initiale du blogueur Jabeur Mejri, libéré récemment après deux ans de détention à cause des ses caricatures jugées offensantes au Prophète Mohamed. « Jabeur Mejri ne doit pas seulement être gracié, sa condamnation initiale doit être annulée et ne doit plus apparaître sur son casier judiciaire », a indiqué Amnesty International dans un communiqué rendu public, jeudi 6 mars 2014. Amnesty International a expliqué que Jabeur Mejri n'a fait qu'user pacifiquement de son droit à la liberté d'expression et il n'aurait jamais du être condamné.