L'Ihec accueille, le 26 mai, le premier événement de Wise en Tunisie, visant à explorer les méthodes d'enseignement innovantes et les priorités en matière d'enseignement supérieur et l'entrepreneuriat en éducation Un forum intitulé «Dialogue pour l'éducation et la paix» sera organisé le 26 mai à l'Institut des hautes études commerciales de Carthage (Ihec), à l'initiative du Sommet mondial pour l'innovation dans l'éducation (World Innovation Summit for Education-Wise). Selon un communiqué de cette fondation parvenu hier à la TAP, la rencontre, premier événement de Wise en Tunisie, a pour objectif d'engager des personnalités clés de la société tunisienne et des acteurs internationaux dans un dialogue visant à encourager le changement social, à chercher des solutions pour l'emploi de la jeunesse tunisienne, ainsi qu'à explorer les méthodes d'enseignement innovantes, les priorités en matière d'enseignement supérieur et l'entreprenariat en éducation. Selon les rapports de l'Ocde, deux jeunes Tunisiens sur cinq (environ 40%) sont sans emploi, d'où la nécessité pour les acteurs nationaux d'engager un dialogue visant à trouver des solutions pérennes pour l'emploi de la jeunesse tunisienne, affirme le directeur administratif de Wise, Elyas Felfoul. «Nous espérons tirer le meilleur de cette opportunité unique de dialogue et de partage de solutions avec pour ligne directrice l'avenir de la Tunisie et de sa jeunesse. Nous avons beaucoup travaillé pour adapter le programme au contexte tunisien, dans le but de concevoir des solutions concrètes pour combler le fossé qui existe entre l'éducation et l'emploi dans le pays. Nous espérons que cela sera profitable et que cela inspirera les experts en éducation, les enseignants, les professionnels de l'éducation, sans oublier les étudiants tunisiens», poursuit Elyas Felfoul. Prendront part à cette rencontre qui se déroulera en présence du ministre de l'Education, Néji Jalloul, et de la présidente de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat, Wided Bouchamaoui, des experts internationaux du Royaume-Uni, de Singapour et de Finlande, parmi lesquels l'ancienne présidente du Kosovo, Atifete Jahjaga, la lauréate 2015-2016 du Prix Wise pour l'éducation, Dr Sakena Yacoobi, et le directeur général de Wise, M. Stavros Yiannouka, pour débattre du rôle de l'éducation dans l'effort de reconstruction nationale, lit-on de même source. Wise a été créé en 2009 par la Fondation du Qatar. C'est une plate forme internationale et multidisciplinaire destinée à encourager la réflexion, la créativité, le débat et l'action concrète. A travers le Sommet et une série de programmes, Wise est aujourd'hui une initiative de référence sur les nouvelles approches en matière d'éducation, s'appuyant sur l'innovation et la collaboration. Par ailleurs, le communiqué rappelle que le Prix Wise de l'éducation 2015/2016 a été décerné au Dr Sakena Yacoobi, fondatrice de l'Afghan Institute of Learning (AIL), une organisation révolutionnaire et visionnaire qui travaille localement pour l'autonomisation des femmes et des communautés. Dr Yacoobi a passé les vingt dernières années à travailler sans relâche à la reconstruction du paysage éducatif de son pays, dévasté par des décennies de guerre. Depuis sa création, l'AIL a permis à plus de 12 millions de bénéficiaires dans les zones rurales et isolées d'Afghanistan d'avoir accès à l'éducation et aux services de santé, ajoute le communiqué.Un forum intitulé «Dialogue pour l'éducation et la paix» sera organisé le 26 mai à l'Institut des hautes études commerciales de Carthage (Ihec), à l'initiative du Sommet mondial pour l'innovation dans l'éducation (World Innovation Summit for Education-Wise). Selon un communiqué de cette fondation parvenu hier à la TAP, la rencontre, premier événement de Wise en Tunisie, a pour objectif d'engager des personnalités clés de la société tunisienne et des acteurs internationaux dans un dialogue visant à encourager le changement social, à chercher des solutions pour l'emploi de la jeunesse tunisienne, ainsi qu'à explorer les méthodes d'enseignement innovantes, les priorités en matière d'enseignement supérieur et l'entreprenariat en éducation. Selon les rapports de l'Ocde, deux jeunes Tunisiens sur cinq (environ 40%) sont sans emploi, d'où la nécessité pour les acteurs nationaux d'engager un dialogue visant à trouver des solutions pérennes pour l'emploi de la jeunesse tunisienne, affirme le directeur administratif de Wise, Elyas Felfoul. «Nous espérons tirer le meilleur de cette opportunité unique de dialogue et de partage de solutions avec pour ligne directrice l'avenir de la Tunisie et de sa jeunesse. Nous avons beaucoup travaillé pour adapter le programme au contexte tunisien, dans le but de concevoir des solutions concrètes pour combler le fossé qui existe entre l'éducation et l'emploi dans le pays. Nous espérons que cela sera profitable et que cela inspirera les experts en éducation, les enseignants, les professionnels de l'éducation, sans oublier les étudiants tunisiens», poursuit Elyas Felfoul. Prendront part à cette rencontre qui se déroulera en présence du ministre de l'Education, Néji Jalloul, et de la présidente de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat, Wided Bouchamaoui, des experts internationaux du Royaume-Uni, de Singapour et de Finlande, parmi lesquels l'ancienne présidente du Kosovo, Atifete Jahjaga, la lauréate 2015-2016 du Prix Wise pour l'éducation, Dr Sakena Yacoobi, et le directeur général de Wise, M. Stavros Yiannouka, pour débattre du rôle de l'éducation dans l'effort de reconstruction nationale, lit-on de même source. Wise a été créé en 2009 par la Fondation du Qatar. C'est une plate forme internationale et multidisciplinaire destinée à encourager la réflexion, la créativité, le débat et l'action concrète. A travers le Sommet et une série de programmes, Wise est aujourd'hui une initiative de référence sur les nouvelles approches en matière d'éducation, s'appuyant sur l'innovation et la collaboration. Par ailleurs, le communiqué rappelle que le Prix Wise de l'éducation 2015/2016 a été décerné au Dr Sakena Yacoobi, fondatrice de l'Afghan Institute of Learning (AIL), une organisation révolutionnaire et visionnaire qui travaille localement pour l'autonomisation des femmes et des communautés. Dr Yacoobi a passé les vingt dernières années à travailler sans relâche à la reconstruction du paysage éducatif de son pays, dévasté par des décennies de guerre. Depuis sa création, l'AIL a permis à plus de 12 millions de bénéficiaires dans les zones rurales et isolées d'Afghanistan d'avoir accès à l'éducation et aux services de santé, ajoute le communiqué.